Viken Berberian
Viken Berberian, né au Liban d’une famille arménienne, a grandi à Los Angeles.
Il a fait ses études à UCLA, à l’Université de Columbia ainsi qu’à la London School of Economics.
Son premier roman, Le Cycliste (traduit de l’américain par Claro, Au Diable Vauvert 2002), a été traduit en italien, en hébreu et en hollandais. Son roman Das Kapital (traduit de l’américain par Claro, Gallmeister, 2009) a été rédigé en partie à Marseille. Il est également l’auteur avec Yann Kebbi de La structure est pourrie, camarade (Actes Sud, 2017). Ses ouvrages proposent une satire malicieuse des injustices économiques et politiques.
Il a également écrit pour le New York Times, le Financial Times, la New York Review of Books, Le Monde Diplomatique, Foreign Affairs, Granta, l’International Herald Tribune, Bomb, le Los Angeles Times, et Inculte, revue trimestrielle philosophique et littéraire.
Il enseigne la rhétorique et la bande dessinée à l’Université américaine d’Arménie.
Au cœur de la capitale arménienne et de cette révolution architecturale, Yann Kebbi, et l’énergie monumentale de son trait, associé à l’humour absurde de l’écrivain Viken Berberian, dessine un portrait grotesque et terriblement réaliste de notre monde. « Il faut tout reconstruire, terminés les vieux immeubles historiques, place au renouveau ! »